Au Burundi, les choses ne semblent pas vraiment bouger en matière d’Internet. En effet, le pays est à la traine quant au taux de pénétration de l’internet qui demeure encore aujourd’hui inférieur à 10%.
L’information a été livré par Hermalas Nahimana, le directeur général par intérim de l’Autorité de régulation et de contrôle des télécommunications burundais (ARCT) lors d’un atelier sur l’élaboration d’une loi régissant les TIC.
Cette situation semble des plus incompréhensible compte tenu des investissements réalisés par le gouvernement dans la fibre optique et la mise en place du fonds de service universel destiné aux infrastructures télécoms en zones rurales et reculées.
Cependant Christian Ntahondi, le chef du service d’encadrement tarifaire et concurrence à l’ARCT justifie le faible taux de pénétration d’internet par la cherté de l’accès à Internet et la cherté des smartphones.
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