Lors de son discours d’inauguration du salon technologique parisien VivaTech le 24 mai, le président français a promis la somme de 65 millions d’euros pour les start-ups qui représentaient l’Afrique.
Le geste présidentiel n’a pas échappé aux différents entrepreneurs africains venus à Paris pour vanter les mérites de leur innovation concernant le paiement mobile, la fourniture d’électricité verte à moindre coût ou encore des logiciels de banques de données médicales pour les hôpitaux. Cependant certains start-upper souhaiteraient un accompagnement réel en dehors du financier car l’argent à lui seul ne peut pas garantir la réussite du projet.
Pour profiter du financement, les entrepreneurs africains devront déposer leur candidature sur Digital Africa, une nouvelle plateforme, pilotée par l’Agence française pour le développement (AFD). Cet organisme public aura ensuite la charge de distribuer la somme, par petite tranche de 5 000 à 15 000 euros.
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